Le programme Erasmus d'études à l'étranger remplacé par le nouveau programme Turing après Brexit

Le gouvernement a annoncé qu'il remplacera Erasmus+ par le nouveau programme Turing, qui permettra aux étudiants britanniques d'étudier et de faire des stages à l'étranger après Brexit.

Dans un communiqué de presse du 26 décembre, le gouvernement a détaillé ses plans post-Brexit pour investir 100 millions de livres sterling afin qu'environ 35 000 étudiants puissent étudier dans des pays du monde entier.

Le programme démarrera en septembre 2021, mais les entreprises seront invitées à faire une offre au début de l'année pour financer leurs frais administratifs.

Les étudiants recevront une bourse du programme gouvernemental pour les aider à passer leur année à l'étranger.

Ce programme vise à cibler les étudiants issus de milieux défavorisés et à optimiser l'utilisation de l'argent des contribuables.

Selon Gavin Williamson, ministre de l'éducation, "Nous avons conçu un programme véritablement international qui est axé sur nos priorités, qui offre un bon rapport qualité-prix et qui constitue une partie importante de notre promesse de relever le niveau du Royaume-Uni".

Quant a Vivienne Stern, directrice internationale de Universities UK, elle declare que "Le nouveau programme Turing est un développement fantastique et offrira des opportunités mondiales à 35 000 étudiants britanniques d'étudier et de travailler à l'étranger".
Pour le champion de l'éducation internationale, Sir Steve Smith, "Ce programme représente un investissement considérable de la part du gouvernement et je suis impatient de m'y joindre pour mettre au point un programme qui concrétisera notre engagement envers la Grande-Bretagne dans le monde".-2022 sera défini dans le cadre de futurs examens des dépenses.

Ce programme est le résultat de la décision du gouvern

Le programme porte le nom d'Alan Turing, mathématicien et informaticien anglais.

Le financement de ce programme après 2021ement de quitter le programme Erasmus de l'UE pour des raisons financières, malgré l'opposition exprimée par des politiciens tels que Gordon Brown et la directrice internationale des universités britanniques, Vivienne Stern.

Source: Epigram.org